Bâtir un future non-dystopique

Quand à moi, la préparation à la violence n’est à considérer qu’en utlime et dernier recours. Vraiment la toute dernière chose à considérer. Il n’y à qu’a ouvrir un livre d’histoire pour constater que ce recourt implique une souffrance humaine immense et un taux de succès (par succès j’entends retour à la paix/prospérité) vraiment bas. C’est une solution de survie et un mindset de survie dont il est presque impossible de sortir collectivement après y être entré. Ici au Québec, nous avons la chance de n’avoir vécu aucune guerre active sur le territoire. D’autre violence et répression bien sur mais aucune guerre active. La guerre laisse des séquelles intergénérationnelles terrible et vu le future vers lequel on s’en va, ce ne sont pas des sequelles que nous voulons ajouter à la charge à porter.

Selon moi toujours, l’état d’esprit à prioriser est la construction et non l’opposition. L’opposition à ça de génant qu’elle implique une stagnation, une résistance, la présence d’un adversaire et la croyance que cet adversaire nous barre le chemin. Rien ne nous barre le chemin. L’adversaire, à la hauteur du Québec du moins, n’existe pas, ici le gouvernement n’existe pas, il n’y à pas vraiment de classe sociale ou strates d’élites comme en france par exemple, la défiance entre riche et pauvre est minimale. Autrement dit, on est encore capable de se reconnaître comme être humain à travers toutes les couches de la société. C’est un atout incroyable à exploité et à cultiver.

Ça n’est pas une résistance qu’il faut proposer mais une transition, une convergence vers une autre réalité en transformant et améliorant tout ce qui dans la mécanique du système à cultivé des croyances et des pratique délétères. À commencer par le système de gouverance collectif et le système éducatif suivi.

Moi et ma blonde sommes présentement en train de travailler à bâtir une communauté de familles pour vivre en milieu rurale dans un contexte d’entraide et de résilience, atteindre un niveau de compétence, de pratique et de connaissance qui nous permette d’accompagner d’autre groupe à la formation de leur propre communautés, urbaine ou campagnarde. Parallèlement, je travail sur un projet blockchain à travers lequel je veux chercher les compétences, les connaissances, les moyens et les contacts pour contribuer au devellopement d’un outils de décision collectif, accessible à tout les citoyens, qui permettra à tout citoyen proposer des lois, de collaborer à les améliorer, et de voter pour les adopter sans intérmédaire politique, le tout à partir de son ordinateur ou smartphone. Évidement, ça ne va pas devenir la solution de gouverance officiel du jour au lendemain ni sans lutte mais c’est la voie pour redonner à l’individu sa puissance citoyenne et sa conscience collective.

Il faut nous imaginer dans un monde sain comme étant le futur que nous travaillons à bâtir activement, même si celui qui se dessine devant nous à travers les informations à notre disposition paraît terrible. Cultiver un mindset d’impuissance et d’antagonisme est le pire cadeau que nous puissions faire à notre future nous.